La la mobilité électrique L'avenir du secteur automobile a changé pour toujours. Il y a une quinzaine d'années, les grands constructeurs "se donnaient du lait" pour proposer les moteurs les plus "écologiques" et frugaux. Pour cela, ils ont dépensé une fortune, notamment en adoptant la technologie AdBlue. De tous les fabricants, seuls Toyota et Honda jettent leur dévolu sur les hybrides et donc dans le développement de la batterie pour accumuler toute l'énergie du système.
Au début, ils étaient hydrure métallique de nickel (NiMH) mais la relation entre la densité d'énergie et le poids était défavorable. Cela, sans compter que son autonomie est moindre que les lithium-ion les plus modernes. C'est aujourd'hui le grand espoir que la mobilité électrique se développe comme le veulent les constructeurs. Cependant, la signature CATL croire que l'avenir passe par batteries sodium-ion. Saviez-vous qu'ils existaient ? On vous raconte leurs secrets...
Le fonctionnement de la batterie sodium ion CATL est le même que celui du lithium ion…
Selon le CATL, la technologie ion sodium peut remplacer (ou coexister) avec le lithium ion. Et pour que vous compreniez sur quoi ils ont travaillé, nous vous dirons comment ils fonctionnent, bien que ce soit fondamentalement le même que ceux au lithium-ion. En résumé, les ions sodium transportent des charges électriques entre les électrodes, absorbant le courant lors de la recharge et en générant lors de la décharge. Cependant, il y a quelques problèmes associés…
Les ions sodium sont plus gros que les ions lithium il a donc tendance à fragmenter les électrodes et à les "salir" de cristaux. Pour contourner ce problème, CATL indique qu'il utilise le Composé blanc de Prusse (mélange de sodium, fer, carbone et azote) qui ont été modifiés pour éviter la détérioration des électrodes dans les cycles de charge et de décharge. Mais ce n'est pas le seul problème, puisque la densité est également plus faible que dans le lithium ion.
CATL explique que le densité d'énergie du batterie aux ions de sodium est 160kw/kg. Ces données sont inférieures aux 250 kW/kilo que peuvent offrir les batteries lithium-ion actuelles. Bien sûr, ils n'ont pas tardé à indiquer que dans la prochaine génération de batteries, ils dépasseront les 200 kW / kilo. De plus, pour résoudre ce problème, ils étudient également une autre voie. Il s'agit de combiner sodium et lithium développer des batteries hybrides.
Mais tout ne sera pas des inconvénients. L'avantage est qu'ils utilisent un matériau en carbone dur poreux pour l'anode. De cette façon, ils indiquent la batterie aura une durée de vie plus longue et que la vitesse de chargement sera plus rapide. Comme indiqué, vous pouvez Une charge de 80 % peut être effectuée en 15 minutes environ avec une plus grande stabilité thermique. Quoi qu'il en soit, il faudra attendre 2023 pour qu'on les voit fonctionner.
Pour le moment Nous ne connaissons pas leurs prix ni s'ils mettront fin à l'hégémonie du lithium. Bien sûr, le sodium est moins cher et plus abondant que le lithium. Il faudra voir si les constructeurs misent sur cette solution qui, d'emblée, semble moins chère...
La source - CATL